Toute seule je longeais cette allée ténébreuse
Perdant tout espoir d'une vie heureuse
Je ne voyais que le noir, la tristesse devant moi
La vie n'avait plus de goût pour moi
Rien que des problèmes, des chagrins
Des portes fermées, des amertumes sans fin
Et soudain, je voyais provenir de loin
Une petite lumière , dans un recoin
Je hâtais le pas, je devais sortir
De cette prison, me délivrer de ce martyre
La tête haute, j'avançais à pas sûrs
Tout droit vers mon but, mon coeur devint dur
A cause de ce que j'ai subit, à force de souffrir
Je ne voulais plus céder, je ne voulais pas mourir
A présent plus personne ne pourrait me retenir
D'avancer, d'exaucer mes rêves d'avenir
Commentaire de mon-mimoirperso (05/03/2007 21:09) :
